HEAVENLY SWEETNESS
david walters - mama ep
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DAVID WALTERS - MAMA EP
Before an upcoming album in 2020 on Heavenly Sweetness Records, Mama is the first single. A track in which the balafon’s woody resonance, the meditative flute and the female choruses return to the Creole roots of David, recall the memory of his Caribbean grandfather exiled to New York but, above all, a title dedicated to his grandmother, who after the last soaring electro-disco, she comes to declaim the text on the ultimate measures.
David Walters will have thought of it, conceived and realized in close collaboration with Patchworks.
Then, in the wake of the single Mama released in the month of each of them took the title, isolated himself in the studio with instruments and machines to come out only with a total reinterpretation, but especially personal, of the title.
Hammering bass drum and snare drum bursts, David has entrusted the direction of operations to the rhythmic, and it is one after the other that digital elements were invited to transform the original maternal softness into a boiling west indies soundsystem. Synths their strings on the hum of the bass, the hypnotic power of the riddim remains.
Two remixes, two atmospheres.
Patchworks scene is set in a jazz-funk setting, an heritage from Roy Ayers and Lonnie Liston Smith. Powerful drum, enrobing bass, the Fender Rhodes becomes a soloist, motivated by this irrepressible groove. And that the meshes leave the hands of the balafon player to pass in those of the vibraphonist.
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Avant un album à venir en 2020 sur Heavenly Sweetness, Mama en est le premier extrait. Un titre où la résonance boisée du balafon, la flûte méditative et les choeurs féminins reviennent aux racines Créoles de David, rappellent le souvenir de son grand-père Caribéen exilé à New York mais, surtout, un titre dédié à sa grand-mère. Elle qui après les dernières envolées electro-disco vient déclamer le texte sur les ultimes mesures.
David Walters l’aura pensé, conçu et réalisé en collaboration serrée avec Patchworks.
Alors, dans la foulée de la version originale, ils se sont emparés du titre, se sont isolés en studio avec instruments et machines pour n’en ressortir qu’avec une réinterprétation totale, mais surtout personnelle, du titre.
Martèlement bass drum et rafales de caisse claire, David a confié la direction des opérations à la rythmique, et c’est l’un après l’autre que des éléments digitaux s’y sont invités pour transformer la douceur maternelle d’origine en soundsystem west indies bouillant. Les synthés plaquent leurs nappes sur les vrombissements des basses, la puissance hypnotique du riddim fait le reste.
Deux remix, deux ambiances.
Celle de Patchworks se plante dans un décor jazz-funk, hérité de Roy Ayers et de Lonnie Liston Smith. Batterie véloce et basse enrobante, c’est motivé par ce groove irrépressible que le Fender Rhodes d’abord en soutien devient soliste. Et que les maillets quittent les mains du joueur de balafon pour passer dans celles du vibraphoniste.